Tu prêches à un convaincu, Doc : je suis comme toi, avec une trouille épouvantable du vide.doc a écrit : ↑lun. 23 nov. 2020, 13:02bonjour Junck
quand j'ai fait mes classes en 1972 j'ai réussi à me faire dispenser du parcours du combattant car j'avais le vertige en haut des obstacles!!dans un cerisier je me monte pas et si je visite un phare je reste près de la paroi et si je vois un enfant qui s'approche du bord je panique!!!
c'est vrai que ce n'est pas du vertige (j'ai parfois des vertiges cochléaires et c'est encore autre chose) mais la peur du vide
Enfant, je ne supportais pas les balançoires... En vacances avec mes parents, nous sommes montés dans le téléphérique : il n'est pas impossible que certains puissent se souvenirs des cris que j'ai poussés ce jour là . Pire que ceux du Yéti !
Moi, les classes, c'était en 1975... et un sergent m'a menacé de me supprimer ma première "perm" tant attendue, si je refusai d'effectuer le parcours du combattant... Je lui ai répondu, qu'au pire, je resterai un an à la caserne, mais que jamais je ne ferai ce genre de péripéties...
Euh, et je suis parti en "perm" comme tout le monde...
Un enfant au bord d'une digue m'insupporte au point de quitter l'endroit... et grimpé sur une chaise : je ne suis déjà plus du tout à l'aise...
Le nettoyage du toit de "Barnabé", c'est sur un échafaudage que je reste, en le déplaçant un peu à la fois pour en faire le tour !
Bien entendu, je ne monte pas en avion...
Il paraît qu'on peut apprendre à ce contrôler : je ne veux même pas y penser...